Ça fait longtemps que je n'ai pas parlé de films sur ce blog. Il est temps de me rattraper. Au programme, aujourd'hui, The Grand Budapest Hotel, sorti au cinéma il y a peu de temps.
Comment décrire ce film magique sans dévoiler à l'avance tout ce qui en fait le charme ? C'est presque impossible... Je ne dévoilerai rien de l'intrigue dans ce qui suit, mais il me sera impossible de ne pas mentionner certains détails esthétiques ; si vous souhaitez préserver l'intégrité de l'aura de mystère qui plane autour de ce film, alors peut-être vaut-il mieux pour vous vous arrêter là ?
Sans rien dévoiler de l'intrigue, donc, on peut simplement en dire qu'elle se situe dans un pays imaginaire (pas très différent, par certains aspects, de la Syldavie), dans un contexte mi-onirique, mi-désuet. Tout le film joue autour de cette ambiance exagérée, aux limites du fantastique, mais tout en ancrant cette histoire dans un décor de luxe extrême, clinquant et suranné.
Et en plus d'être drôle et surprenant, ce film est esthétiquement incroyable. Chaque plan des décors pourrait être encadré. La composition est parfaite, les détails soignés... Et tout est, toujours, presque partout, d'une symétrie quasi parfaite. L'esthétique de ce film est inouïe.
Bref, foncez. C'est un film fantastique, drôle, surprenant, inattendu et splendide. Et si vous voulez vous faire une meilleure idée de l'ambiance, vous pouvez regarder la bande-annonce (qui spoil plus que je ne l'ai fait).
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