Je parlais avec Braid de déconstruction du jeu de plates-formes. Dans Braid, c'est un message caché, en seconde lecture, subtil... Dans Lee-Lee's Quest, par contre, le message n'est ni subtil ni caché !
lundi 29 août 2011
vendredi 26 août 2011
Braid
Braid est un jeu indépendant assez révolutionnaire sorti en 2008, développé et financé par une seule personne, son créateur atypique, Jonathan Blow. De prime abord, il peut sembler assez classique dans sa construction : c'est un jeu de plate-forme 2D dans lequel on tue les ennemis en leur sautant dessus, dans lequel on ramasse des pièces de puzzle, dans lequel une maison sert de portail entre les différents mondes... Même l'histoire, telle qu'on la devine au début, a un certain goût de déjà-vu : le héros est à la recherche d'une princesse enlevée par un méchant...
Mais malgré tout, dès le début, avant qu'on ne perçoive toute la subtilité du jeu, Braid déstabilise. Le jeu s'ouvre sur l'image ci-dessous. Pas de menu, juste une ville en flammes dans le style "peinture" du jeu. Le premier monde est numéroté 2. Dès le départ, tout est étrange.
jeudi 25 août 2011
Fate of the World
Ce message d'aujourd'hui va transgresser une autre règle invisible de ce blog : ne parler que de jeux que j'ai finis (ou dans lesquels j'ai suffisamment avancé). Mais si je devais attendre de l'avoir fini pour parler de Fate of the World, cet article resterait probablement pour toujours à l'état de brouillon ; ce jeu est dur.
Fate of the World est un jeu de stratégie sorti en février dernier, créé par le studio britannique Red Redemption. Son scénario est relativement simple ; nous sommes en 2020, vous êtes démocratiquement nommé chef du monde : qu'allez-vous en faire, comment allez-vous gérer les problèmes qui vont se poser ?
vendredi 19 août 2011
Ni homme ni femme — Enquête sur l'intersexuation
Petit préambule de pure forme. Nauths est mon premier blog, même si je n'ai pas l'impression de m'y exposer autant que ce que ce terme implique usuellement ; je découvre donc cet exercice de l'écriture régulière (*tousse*) et de tout ce qui va autour. Et je constate déjà à quel point l'être humain (n'ayons pas peur des généralisations hâtives) est esclave des habitudes (je n'ai pas trouvé de meilleure traduction de l'anglais a creature of habit). Ainsi, tenir ce blog est déjà pour moi une sorte de rituel, régi par tout un ensemble de règles invisibles qui le définissent autant qu'elles le contraignent. Des considérations sur le style, la présentation, mais aussi le rythme de l'écriture, la constitution des brouillons, la planification des articles... qui contribuent à une certaine "unité" du résultat.
Parmi ces règles, il y en a une ou deux pas vraiment explicitement formulées que je suis en train de trahir. Je suis en train d'écrire un deuxième post la même journée, alors que j'ai autre chose à faire, sans image d'illustration, pour présenter quelque chose qui n'a rien à voir avec la portée habituelle de ce blog. Et surtout, au final, pour raconter un truc qui est plus profondément personnel que ce que peuvent être toutes mes considérations vidéo-ludiques réunies. Branle bas de combat.
The End
(Non je n'annonce pas la fermeture de ce blog. ^^)
The End est un jeu étrange. Un peu inclassable. S'il fallait lui coller absolument une étiquette, ce serait peut-être celle d'un jeu d'éducativo-philosophico-plateformo-réflexion ? Un bon gros étrange mélange des genres.
Libellés :
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Publié par
Nicuvëo
mardi 2 août 2011
Limitless
J'ai eu récemment l'occasion de voir Limitless, un film sorti en mai dernier. Tout le scénario repose sur un postulat scientifiquement faux, le fameux mythe de "on n'utilise que n% de notre cerveau". Le film suit l'histoire d'un écrivaillon paumé qui n'a pas encore réussi à écrire la moindre ligne de son premier livre, et qui tombe par hasard sur une drogue expérimentale, la NZT-48, qui lui permet "d'utiliser son cerveau à 100%", le rendant soudainement suprêmement intelligent.
Continuity 2
Vous vous souvenez de Continuity ? J'avais mentionné à l'époque l'existence d'un deuxième opus sur iPhone et iPad, vendu pour un euro. Je viens de le finir, et... il est décevant.
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